Le mardi 10 janvier, j’ai eu l’occasion d’intervenir sur un sujet qui préoccupe tous les Français, adultes ou enfants : l’école. Au cœur de toutes les crispations, cet autel laïque qui forme des citoyens libres et émancipés subit de plein fouet de graves secousses.

L’histoire de la République est liée à celle de l’école. Déjà à l’heure de la Révolution française des voix s’élevaient pour donner au peuple l’instruction nécessaire à son émancipation.

L’état de notre école, qui a jadis fait notre fierté, laisse à désirer depuis décennies. Ce gouvernement y contribue largement en instaurant une cacophonie de réformes qui se contredisent sans cesse ; il n’y a qu’à voir le traitement des maths dans le tronc commun.

Mon propos, pour une école qui fonctionne, pourrait tenir en une phrase : « Faire réussir les plus fragiles ».

Retrouvez mon discours :